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Ma formation Faber et Mazlish #1
Formation Faber et Mazlish
séance numéro 1

On va parler de quoi?

Je veux vous faire partager ce que je vis dans ma formation Faber et Mazlish.
Comment cette formation me permet d'évoluer de faire évoluer ma famille vers plus de bienveillance.
Je vais vous écrire ce que j'ai pu prendre en note, durant les séances et durant mes lectures.

On ne parlera pas?

Durant la première séance nous avons mis en place des règles de groupe.
Des règles de bon sens.
En effet ici je ne partagerai pas les situations exactes.
Je partagerai les pistes de témoignages, ou à ma propre expérience.

Introduction

«Tu fais avec les émotions que tu as avec les mes émotions que tu ne maîtrise pas»
Nous allons voir les compétences étape par étape point il faudra les respecter afin qu’elle puisse ressortir plus facilement face au doute voir instinctivement même avec la fatigue les émotions…
Il s’agit d’une méthode qui demande du temps car il faut désapprendre pour pouvoir mieux apprendre.
Il y aura sept séances :
1)    Écouter et accueillir les émotions de l’enfant
2)    Susciter la coopération
3)     Remplacer la punition
4)    Encourager l’autonomie
5)    Compliment estime de soi
6)    Sortir l’enfant de ses étiquettes
7)    Révision finale

Nous utiliserons :

    Cahier de travail pour participants à l’atelier, parler pour que les enfants écoutent. Adèle Faber et Elaine Mazlish aux éditions du phare.
    Parler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent. Adèle Faber et Elaine Mazlish aux éditions du phare
    Parents épanouis, enfants épanouis. Votre guide pour une famille plus heureuse. Adèle Faber et Elaine Mazlish aux éditions du phare.

Les règles du groupe

Nous avons commencé la séance par expliquer comment allait se passer la formation. Puis nous avons mis en place des règles pour le groupe, afin que chacun se sente à l’aise de parler et de vivre pleinement cette expérience.
    Mettre son téléphone en vibreur
    On utilise le tutoiement
    Ce qui est dit ici reste ici si je partage, si quelque chose de global, ce qui m'a aidé ou ce qui peut aider.
    Avoir de l’auto-empathie
    Garder son jugement
    Écouter sans jugement
    Notre jugement non identifié peut-être un besoin
    Être à l’écoute de nos besoins être disponible
    Se donner la liberté de participer ou non à un atelier à un échange
    Respecter la notion de silence
    Écoutez chacun jusqu’au bout même leur silence.

 

I.    Écoute pour accueillir les émotions de l’enfant
Nier le ressenti  de l’enfant apporte confrontation, bagarre et rapport de force.


Ami ou un seulement annuler la parole et la pensée précédente.


A.    Se rendre compte qu’on est dans cette situation
Prendre conscience des situations c’est la moitié du chemin.


On ne nous demande pas de comprendre mais d’entendre et d’être empathique.


B.    Se mettre à la portée de l’autre


Accueillir les sentiments entendre comment il voit les choses. En étant authentique en étant cohérent.
L’empathie se ressentir en se protégeant du sentiment.
Contrairement à la sympathie où l’on garde et on ressent avec l’autre le sentiment.
Afin de bien comprendre ce que ressent l’autre on fait une mise en situation. Elle se trouve page 23, chapitre 1 aider les enfants aux prises avec leurs sentiments, du livre parler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent.
Cet exercice permet de faire ressortir nos propres réactions face à une personne qui nie nos sentiments. Certes les problèmes des enfants, peuvent nous paraître dérisoires face à nos problèmes d’adultes, pourtant ils ont la même force pour eux.
Faire face à ces réactions même fictives mon permis d’avoir encore plus envie tu acquérir ses habiletés.
Dans l’exercice nous sommes face à une situation professionnelle nous avons tout donné mais pas suffisamment. Note supérieure nous réprimande devant nos collègues et on rencontre par la suite plusieurs amis qui vont avoir plusieurs réponses différentes.
Face à une négation des sentiments ou une réponse philosophique ou un conseil où est hors de question ou encore la défense de l’autre personne ou la pitié ou la psychanalyse d’amateur, de nombreux sentiments négatifs vont s’ajouter aux sentiments premier.
La liste que nous avons pu élaborer un groupe est longue :
o    incompréhension. 
o    Colère.
o     Culpabilité. 
o    C’est moi le problème. 
o    Je ne sais pas gérer mes émotions. 
o    Augmentation du sentiments.
o    Frustration. 
o    Pas entendu. 
o    Seul. 
o    Je suis trop émotive. 
o    Impuissant. 
o    Mettre trop d’affect. 
o    Révolter. 
o    Humilié. 
o    Infantiliser. 
o    Injustice. 
o    Cet ami en est-il vraiment un ? 
o    On ne m’accepte pas comme je suis
o    Je suis capricieuse
o    Je n’ai plus envie de parler
o    Je suis nul.
o    Ça ne m’aide pas
o    Stressé
o    Remise en question
o    Prendre de la distance avec mes sentiments
o    Je m’oublie face à sa tristesse à lui
o    Agacement
o    Intrusion
o    Ça va trop loin
La réponse empathique elle ouvre la porte, donne envie de se livrer plus et de passer à autre chose.
Cela permet de prendre de la distance, de faire redescendre la pression de ce libérer et de façon constructive trouver notre propre solution.

Cette expérience plus que les mots que l’on peut lire dans un livre m’a permis, de remettre en perspective mes automatismes, mes réponses tout faites et ma façon d’être face à quelqu’un qui exprime ses sentiments.

Passe à l’attaque de l’estime de soi deux réactions possibles, la soumission pour la révolte.

Travail à la maison et lecture :

La lecture des premiers chapitres de chacun des livres m’a permis de me libérer. Très émotive j’ai tendance à vouloir oublier les sentiments qui me traverse.
Depuis que je suis maman c’est encore plus fort. Je suis la recherche constante du bonheur de mon enfant et je n’accepte pas mes sentiments négatifs qui pourrait nuire à ce bonheur.
Afin d’accueillir au mieux les sentiments des autres il faut que j’accepte l’autoempathie.
Jusqu’à présent en besoin secondaire puisqu’il n’était rien qu’à moi, il devient une priorité puisqu’il peut aider mon fils et ma famille. J’accepte que l’expression de mes sentiments négatifs pourras m’en libérer et me permettre d’aller vers des sentiments positifs. Il est encore un long chemin à faire mais les premiers pas sont là.

Je me sens libérée quand je lis que j’ai le droit, que je peux exprimer à mon fils ou à qui que ce soit d’autre que ces réactions me mettre en colère, me rendre triste…
Enfin accepté de ne pas remédier au problème systématiquement et rapidement. La recherche de la solution par la personne qui pose le problème et la solution. Cela n’empêchera pas, on verra plus tard de pouvoir aider l’autre à cette recherche. 

Ma formation Faber et Mazlish #1
Notes de lecture :

Pour chaque mère et chaque père, où qu'ils se trouvent, qui se sont déjà dit un jour :          

  «il doit y avoir une meilleure façon !»


I.    Au commencement étaient les mots


Qu’est ce qui n’allait pas.
•    Malgré les compliments… pourquoi ils non pas confiance en eux.
•    Malgré les explications calme et logique, leurs réactions ne sont pas raisonnable.
•    Chaque explications devient polémique.
•    …
D’Après Haim Ginott, psychologue et auteur :
La description de se qu’on ressens ou vois pour s'ouvrir et ouvrir la communication, un dialogue constructif pour chacun.
«Le langage que j’utilise n’évolue pas. J’évite les expressions qui jugent le caractère ou l’habileté d'un enfant. Je me garde bien de prononcer les mots tels que stupide, maladroit, méchant   et même des termes comme beau, bon, merveilleux.  Parce qu’ils n’aident pas l’enfant ; ils le bloquent.
À la place, j’utilise des mots qui décrivent ce que je vois ; je décris ce que je ressens.»

A.     Pour libérer

Cela permet de libérer, permet à l’enfant de trouver par lui-même la solution face à un problème.

B.    Pour transmettre notre amour

Les mots sont les messager de notre amour. 

C.    Colère sans insulte

Être toujours patient est irréaliste et pas nécessaire. Il peut y avoir de la colère sans insulte. Il est utile d’exprimer sa colère à son enfant cela peut-être un moyen de faire changer un comportements. Si on reste dans la description sans attaque sur la personnalité.
Exprimer ce que l’on ressens de façon facilitante.
«Je vois quelques chose qui me met en colère. Les vêtements, les livres et les jouets vont sur les étagères !»
Plutôt que des phrases qui contiennent des «tu» réprobateur.

D.     Diminuer la parole pour augmenter l’écoute

D'un paragraphe à une phrase 
D’une phrase à un mot
D’un mot à un geste
Une écoute plus juste

E.    Apprendre et désapprendre

•    Pourquoi tu ne peux pas…      •    Tu souhaiterais…    •    …
•    Tu sera toujours un…    •    J’ai confiance que tu…    
•    Qui a fait ça?    •    Alors, tu sens vraiment que…    
•    C’est quoi au juste ton problème ?    •    Ce serai utile si…    
•    ...    •    …    
Apprendre à humaniser nos propos pour apprendre ensemble que face à un problème :
•    On ne blâme pas
•    On se concentre sur la solution
•    On se tend l’un l’autre une main secourable
•    On fait confiance à l’autre pour s'aider lui-même
Dans la façon de dire les choses les valeurs d’humanisme passe.

Les enfants sont des personnes.


II.    Leurs sentiments sont bien réels


A.     Faire attention aux réponses qui laisse entendre :

•    Tu ne veux pas vraiment dire ce que tu dis.
•    Tu ne sais pas ce que tu sais.
•    Tu ne ressens pas ce que tu ressens.

B.    Accepter pour soi et pour les autres que :

•    Tous les sentiments sont permis ; on peut limiter les gestes.
•    On ne doit pas nier les perceptions d'un enfant.
•    On doit l'aider à les reconnaître.
•    On doit nous même reconnaître et entendre leurs sentiments même négatifs.
•    C’est seulement quand un enfant se sent bien qu’il peut bien penser.
•    C’est seulement quand un enfant se sent bien qu’il peut bien agir.
•     «placer un miroir devant le sentiment» permettre à l'autre de voir par lui-même ce qu’il ressens pour trouver le soulagement a se sentiment par lui-même. Éprouver le sentiment sans tomber dans le ressentiment.
•    Aider l’enfant a clarifié ses sentiments ne veux pas dire les approuver. Apprendre que tout mes sentiments sont importants qu’il font parti de lui. Une fois ressenti et compris l’enfant peut se libérer des sentiments négatifs pour accueillir les positifs.

C.    En cas s sentiments forts et pénible :

Acceptez qu'il faille du temps a votre enfant pour sortir de leur état.

III.    Les variations dans l’écoute des sentiments.


Variation 1

Chez certains enfants, le besoin d’être entendu dépasse la capacité d’écoute de leurs parents. Il faut trouver une façon de terminer un échange tout en montrant l’enfant que nous sommes sensibles à ce qu’il vit.
Impossible de résumer la situation et d’expliquer ce que l’on doit faire en tenant compte du sentiment de l’enfant. « je vais … et je serai jusqu’à quel point tu es déçu et fâché.»

Variation 2

Parfois les enfants expriment leurs sentiments dans un langage si choquant qu’on ne peut pas les écouter, encore moins les aider.
« c'est inacceptable ! Je peux voir que tu es fâché, mais tu devras trouver une autre façon de m'en parler. Maintenant, j'aimerais être seul pour la prochaine heure.»

Variation 3

Un petit cadeau peut parfois aider un enfant en détresse. Sans lui demander s’il le veut ou pas, on le lui donne, tout simplement. Un bon moment parle directement à son cœur.

Variation 4

Quand ton enfant est aux prises avec une émotion très intense, on est parfois capable de l’aider à diriger ses sentiments vers un exutoire créatif.
Pour l’enfant trop jeune ou celui qui choisit ne veut pas dessiner ni décrire, un des parents peut agir comme un secrétaire.

Variation 5

Dans certaines circonstances, il est préférable de ne pas comprendre, de ne pas être en contact, de ne pas savoir ce qu’un enfant ressent. Haim Ginott nous appelle ça laisser à chaque enfant un espace dans son âme à lui.

Variation 6

Le message fortifiant.
Dans la vie d’un enfant, il est parfois approprié de faire entendre la sonnerie d’une trompette pour rallier son courage et son esprit combatif.
« oui, c’est dur. Oui, c’est difficile. Je respecte ta lutte et j’ai confiance que tu vas trouver un moyen de t’en sortir.»

IV.    Quand un enfant se fait confiance

Un sentiment, c’est un fait réel
Il est vrai que leurs sentiments peuvent changer, parfois très rapidement, mais lorsqu’il les ressemble, ses sentiments, il n’y a rien de plus réel pour eux.
Derrière certaines phrases il y a un message différents.
Si un enfant se sent d’une façon, pour lui, c’est de cette façon que les choses existent vraiment à ce moment-là.
Plusieurs sentiments contradictoires peuvent coexister en même temps.
Le verbaliser peut les aider.
Les sentiments de chaque enfants sont uniques.
Chaque différence est une marque de distinction positive et peut-être présenter comme une force.
Quand on identifie et qu’on accepte leurs sentiments, les enfants prennent davantage contact avec ce qu’ils ressentent.
Quand les parents respecte les sentiments de leurs enfants, ceux-ci apprennent, en retour, à respecter leurs propres sentiments et à leur faire confiance
Nos sentiments sont une protection naturelle.
Quand on reconnaît comme réelle les sentiments d’un enfant, quel cadeau magnifique on lui offre :
La force d’agir de son propre chef, la possibilité d’avoir un cœur sensible aux autres et l’occasion d’être en contact avec un être humain tout à fait unique : lui-même !


 

Tag(s) : #Pédagogie, #Bienveillance, #Faber et Mazlish
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